Jávea, le marché parfait pour les familles néerlandaises

Malgré la pandémie actuelle, le secteur de l’immobilier international continue de prospérer et les logements vont continuer d’augmenter tout au long de cette année. Selon une étude réalisée par Bloomberg Economics, le risque de connaître une nouvelle bulle est grand pour de nombreux pays du monde comme la Nouvelle-Zélande, le Canada ou la Suède, alors que l’Espagne reste à l’écart.

 

Cependant, dans ce message, nous aimerions nous attarder sur le cas des Pays-Bas. Nous parlons d’un pays qui est très présent dans l’ADN d’Eurojávea et qui connaît lui aussi une augmentation significative du prix des logements, mais pour une raison différente des autres endroits dans le monde. En effet, le marché immobilier aux Pays-Bas connaît une pénurie d’offres sans précédent ces dernières années.

 

Parmi les causes qui ont aggravé cette situation, nous signalons l’abolition des droits de mutation immobilière pour les moins de 35 ans. Le gouvernement néerlandais a lancé cet avantage fiscal pour aider les jeunes à acheter leur premier logement. Cependant, cette mesure a aggravé le problème puisqu’au fil du temps, on a constaté que plusieurs de ces acheteurs possédaient déjà d’autres maisons. Pour cette raison, cette défiscalisation ne s’applique plus aux logements dont le prix dépasse 400.000 euros.

Un autre aspect à prendre en compte dans cette crise a été le problème créé par l’azote. Actuellement, une grande partie des maisons en construction a dû être arrêtée car elle dépassait les niveaux d’émission établis par l’Union Européenne. C’est un problème qui prend de l’ampleur et pour lequel il ne semble pas y avoir de solution à court terme.

Tout cela génère un scénario du secteur immobilier sans précédent et cela ne fait que commencer. Nous sommes en effet confrontés à l’une des plus fortes hausses de prix de toute l’Union Européenne qui touche toutes les niveaux de familles. Certains propriétaires hésitent à vendre leur maison de peur de ne pas pouvoir en trouver une plu grande. D’autres, dont les salaires sont moins élevés, souffrent aussi beaucoup de cette crise car l’offre de logements sociaux est très restreinte.

Une demande immobilière croissante

Selon l’institution financière néerlandaise Rabobank, à la mi-2020, il y avait plus de 330.000 maisons qui avaient disparues aux Pays-Bas, soit environ 4 % du total. Phénomème qui, comme le souligne la banque néerlandaise, va aller en augmentant dans les années à venir. À tel point que Rabobank estime que ce chiffre dépassera les 400.000 logements en 2025, ce qui équivaut à plus de 5 % des logements.

Face à cette situation de pénurie et de ralentissement de l’immobilier, qui concerne aussi bien les nouvelles constructions que les constructions déjà existantes, la hausse des prix va continuer à augmenter dans les mois à venir et les familles, dont beaucoup sont à la recherche d’une maison plus grande, seront obligées de se retourner vers de nouvelles options, même dans d’autres parties du monde. C’est le cas de Jávea, qui a déjà commencé à sentir les effets de cette demande des acheteurs néerlandais. Sans que cela ne soit surprenant, nous avons constaté ces derniers temps qu’il y a eu une augmentation significative de la demande dans la Communauté valencienne, en particulier dans la région de la Costa Blanca et, par conséquent, aussi à Jávea.

Étant natifs des Pays-Bas, chez Eurojávea, nous avons un portefeuille important de clients néerlandais qui recherchent très souvent des maisons à acheter dans notre ville. Par conséquent, si vous envisagez de vendre votre propriété à Jávea, nous pouvons vous aider à le faire. Si au contraire, si vous souhaitez acheter un objet intéressant dans notre ville, contactez-nous pour voir de première main notre portefeuille de maisons qui sont à vendre. Nous nous ferons un plaisir de vous accompagner et de vous conseiller.

*Article basé sur l’article de Vicente Nieves Le prix des logements est en pleine crise aux Pays-Bas en raison d’une pénurie  » sans précédent  » de biens immobiliers dans The Economist.

Stephan dans 10 Jan 2022